FREDERICTON - Today in the Legislative Assembly, MLA for Memramcook-Tantramar and Green Health Critic Megan Mitton proposed a motion calling on the government to amend the Public Health Act to make the Chief Medical Officer of Health independent of political decision-making.

“The Chief Medical Officer plays a crucial role in safeguarding the public health of New Brunswickers,” said Mitton. “But successive governments have eroded its independence over the past 10 years. It's time to fix that.”

Mitton, who recently questioned Dr. Jennifer Russell on her work in the COVID-19 pandemic response during a Public Accounts committee meeting, stated that under the Higgs government, the Chief Officer of Health admitted that political preference played a role in public health decision-making during that crisis. 

 “The lack of independence of the Chief Medical Officer has resulted in delayed or inadequate responses to health crises, miscommunication, and erosion of the public trust,” added Mitton. “We need to make sure the Chief Medical Officer is an advocate for the health of New Brunswickers and not a private advisor to cabinet.”

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Le 24 novembre 2023

La critique des Verts en matière de santé appelle à l'indépendance de la santé publique

FREDERICTON - Aujourd'hui, à l'Assemblée législative, la députée de Memramcook-Tantramar et critique des Verts en matière de santé, Megan Mitton, a proposé une motion demandant au gouvernement de modifier la Loi sur la santé publique afin de rendre le médecin-hygiéniste en chef indépendant de toute décision politique.

« Le médecin-hygiéniste en chef joue un rôle crucial dans la protection de la santé publique des gens du Nouveau-Brunswick », a déclaré Mme Mitton. « Mais les gouvernements successifs ont érodé son indépendance au cours des dix dernières années. Il est temps d'y remédier. »

Mme Mitton, qui a récemment interrogé la Dre Jennifer Russell sur son travail dans le cadre de la réponse à la pandémie de COVID-19 lors d'une réunion du comité des comptes publics, a déclaré que sous le gouvernement Higgs, la directrice générale de la santé a admis que les préférences politiques ont joué un rôle dans la prise de décision en matière de santé publique pendant cette crise.

« Le manque d'indépendance du médecin-hygiéniste en chef a entraîné des retards ou des réponses inadéquates aux crises sanitaires, des erreurs de communication et l'érosion de la confiance du public », a ajouté Mme Mitton. « Nous devons nous assurer que le médecin-hygiéniste en chef est un défenseur de la santé des gens du Nouveau-Brunswick et non pas un conseiller privé du cabinet ».

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